Prises isolément, les cellules bactériennes ont la mémoire courte. En groupe, elles peuvent en revanche développer une mémoire collective qui les aide à mieux gérer les situations de stress. C'est ce que des chercheurs de l'Eawag et de l'EPF de Zurich viennent de démontrer expérimentalement dans une étude publiée dans la revue PNAS.