Les scientifiques sont unanimes sur ce point: les vieux arbres et les arbres morts appartiennent à un écosystème forestier en bonne santé. Deux congrès internationaux, l'un en Italie en 2003 et l'autre en France en 2004, ont abouti à cette conclusion évidente. Sur le plan politique, ce constat s'est déjà largement imposé. Mais quelles en sont les conséquences pour les propriétaires forestiers?