Tout a commencé par le coup de téléphone du garde forestier à l'Antenne romande: suite à un défrichement, un reboisement avec des épicéas était en cours sur une ancienne décharge. En creusant les trous de plantation, l'équipe forestière trouvait des morceaux de plastique et d'aluminium et la «terre» avait une odeur toute particulière. Renseignements pris, c'est un compost à base de boues d'épuration qui avait été étendu en lieu et place d'une couche de fermeture avec de la terre végétale. Quelles recommandations pouvait-on donner pour le reboisement? Force était alors de constater que la littérature sur le sujet présentait d'importantes et nombreuses lacunes.