Dans le numéro 5 de La Forêt, nous avons traité de «L'exploitation semi-mécanisée dans un taillis de châtaignier». Une erreur s'étant glissée dans la légende d'une photo (en haut de la page 24), le lecteur aurait pu se faire une idée plutôt fausse de cette technique: soit parce que cette illustration donnait l'impression qu'on laisse beaucoup de bois en forêt, mais aussi parce qu'on ne voyait guère sur la photo de régénération naturelle. Ce deuxième article nous donne l'occasion de transmettre quelques autres informations sur ce type de forêt. Il nous permet aussi de revenir sur la façon de la gérer au moyen de techniques sylvicoles (les coupes de taillis qui sont souvent considérées, à tort, comme des «coupes rases»). Ce thème est particulièrement d'actualité à l'heure où les discussions sur la nécessité de rationaliser les exploitations forestières vont bon train.